C'est en partant d’une séance de tatouage sur un ami que j’ai eu l’idée de tourner mon objectif sur ce milieu. Auparavant marginalisé, cet art se dévoile désormais de plus en plus entre grands shops avec pignon sur rue aux petits salons privés plus intimiste. Ces artistes subliment les courbes des corps et gravent à jamais leurs créations dans les dermes. Grâce à mon premier tatouage à 19 ans, j'ai commencé à côtoyer ces artistes qui font de la peau leur toile.


















